Le nouvel album démentiel du new-yorkais, Sound of Silver, est en écoute et en intégralité s'il vous plait, sur sa page Myspace, ici.
posted by PoPenLaiR @ 14:59
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Après le succés international de Capture / Release, le second album très attendu de The Rakes confirme les espoirs placés dans le quatuor londonien. Si leur premier essai exprimait l’énergie et la fougue retenue pendant ces longues années de répétition, celui ce veut nettement plus réfléchi. Ten new messages reprend en partie certains ingrédients du premier : guitares tendues et rythmique martiale; mais y ajoute de longues plages atmosphériques (World was a mess but his hair was perfect ou le bien nommé When Tom Cruise cries) et de nouvelles tonalités (le phrasé rappé de Suspicious eyes ou la touche électronique de On a mission) pour un résultat tout autant efficace.
Bonus
Le single We danced together, ici.
La vidéo
posted by PoPenLaiR @ 13:07
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Pour compléter le post sur l'album de Duke Special, voici le concert donné récemment au Paradiso d'Amsterdam.
posted by PoPenLaiR @ 13:19
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La nouvelle scène rock belge (Girls in Hawaii ou Ghinzu) doit beaucoup à Sharko : d’avoir exploré de nouveaux territoires, d’avoir construit un pont au dessus de l’Atlantique pour relier Bruxelles à New-York. Si les précédents albums avaient révélé un talent indéniable pour la mise en place d’atmosphères tendues, il restait pourtant un goût d’inachevé. Ce nouvel opus répond enfin aux espoirs placés dans le trio. Plus maîtrisé, il alterne entre électronique rêveuse (Bug), rock malade (Sweet protection) ou plus direct (Trip), pop 80’s (No more i give up) voire même ballade rétro (Love is a bug). Cette richesse devrait permettre à ces pionniers d’atteindre la reconnaissance qu’ils méritent.
En concert au Rockstore, le 21 mai.
posted by PoPenLaiR @ 16:54
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J'aurai peut-être dû commencer par le début : la chronique avant le concert ...
Véritable sensation de ce début d’année, les californiens de Cold War Kids télescopent avec réussite, ambiances new-yorkaises arty (The Velvet Underground sur Hang me to dry) et atmosphères sudistes. Si la rythmique est souvent bancale et déstructurée ; un piano bastringue (le déjà classique Saint John) et une voix toujours haut perchée rappellent les glorieux anciens du Delta. On reste souvent sans voix devant cette auberge espagnole, admiratif face à la pertinence de ce carambolage de modernité et tradition. Comme leurs collègues de jeu Claps Your Hand Say Yeah et TV On the radio, le quatuor de Los Angeles transporte le rock vers un ailleurs sans limite.
Bonus
Hang me to dry, Robbers, Hospital beds et Passing the hat sur leur page Myspace, ici.
We use to vacation
Hair down
posted by PoPenLaiR @ 12:54
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Après deux incursions kitsch ratées (Antenna et Rush), JJJ revient à la chanson pop automnale, et dans ce registre, difficile de faire mieux que cet artiste influencé par Chet Baker. Les tempos sont lents et les compositions mélancoliques comme sur She doesn't live here anymore qui ouvre un album qui ne néglige pas l'electronica/jazz de salon,autre grande spécialité de ce Suédois. Et puis cette voix profonde apporte douceur et confort à l'auditeur amateur de sensations mélodiques trip-hop de la fin des années 90. Exit les pistes de danse pour un retour à la tristesse donc, sentiment qui convient parfaitement à un artiste qui devrait ainsi retrouver son public en France.
Stéphane.
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Only for you, She doesn't live here et Time will show me sur sa page Myspace, ici.
Trois titres issus de la White Session de France Inter filmé pour Le Podcast de Blog Up, ici.
posted by PoPenLaiR @ 15:51
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Pop en l'air inaugure avec les Cold War Kids, la diffusion intégrale de concerts captés par le fabuleux site FabChannel.com.
posted by PoPenLaiR @ 12:44
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Parrain de la french touch avec ses collègues de Air ou Cassius, acteur important de l’électro hexagonale avec son label Solid et notamment le projet SuperDiscount, Alex Gopher revient huit après son premier essai, avec un second album inattendu, aux tonalités résolument plus pop. Débarrassés des samplers, le versaillais pose pour la première fois sa voix sur des compositions bien plus énergiques (Out of the inside ou Brain leech, hommage assumé à New Order) voire carrément rock (The Game ou Go !). Ce retour aux sources révèle un auteur accompli, capable de marier ses influences originelles avec le son actuel pour obtenir une électro-pop terriblement efficace.
Bonus
Brain leech et The Game sur sa page Myspace, ici.
posted by PoPenLaiR @ 09:57
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Alors que l’attention des médias est focalisée sur des gamins bien peignés et bien habillés, des francs-tireurs poursuivent fièrement leur chemin à l’abris des regards (sans doute trop à leur goût). GOMM, comme les regrettés Sloy ou les Thugs avant eux, dispense avec ce second album, un rock noir, fiévreux, sec et hypnotique sans emprise avec les modes en vigueur mais plutôt influencé par les expérimentations des aînés Fugazi (Good Sides), Wire (Words) ou The Fall (Don’t take a chance). Produit par le toujours impeccable Peter Deimel (Chokebore), ce nouvel opus fait la part belle aux ambiances lourdes, tendues, sur le fil du rasoir, et laisse aux autres le glamour et les paillettes.
posted by PoPenLaiR @ 14:10
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Bouffée d'airs pop : chroniques, critiques, sessions, concerts, mp3 à propos de l'autre actualité musicale
